Le constat amer, que fait chaque jour la population Gabonaise, dans le centre hospitalier universitaire de Libreville est alarmant en même temps terrifiant. Ce qui ne date pas d’ajour hui. Le centre hospitalier qui est censé être un endroit où on doit respecter et faire respecter l’hygiène, est plutôt un centre infectieux, qui impose un mode d’hygiène qui laisse à désirer. L’on rencontre dans cette structure différent problèmes, que ce soit le traitement des malades, dans la sante proprement dite, qui se justifie parfois par le manque d’équipement. Les parents des malades qui sont exposes a l’insécurité (à la belle Etoile, sous le soleil parfois sous la pluie) en attente de leurs parents en consultation.et le pire de tout ça est le manque des sanitaires, chose écœurante et traumatisante pour les malades .Pour les uns l’Etat est responsable (Ministre de la sante) et d’autres le personnel de cette structure ne prend pas des dispositions pour mener à bien ce département.
L’ avenu des nouveaux bâtiments au sein du centre hospitalier universitaire de Libreville, a engendre beaucoup de règles qui semblent améliore l’organisation de cette structure ,mais en réalité certaines de ces règles la condamne.vu qu’ il est le premier centre hospitalier de Libreville il est nullement acceptable qu’ on perfectionne un tel grand hôpital sans pense a prévoir une salle d’attentes pour les parents des patients ,quelques vingtaines de chaises fixées au hall ne peuvent suffire ,et occuper des banc public qui sont exposes non seulement aux accident de circulation, au tempérament du temps et a tout genre de microbes n est en aucun cas prudent. La structure CHU de Libreville pour certains est un dernier recours pour eux, à cause de la distance du CHU d AGONDJE, de l’hôpital Militaire et le CHU d’Owendo qui n’est pas encore opérationnel. Non seulement l’accueil aux urgences augmente le stress du a l’état de santé du patient mais encore les locaux sanitaires laissent à désirer. Constater, que la maternité et le neuro cardiologie (médecine) manquent de douches, des toilettes praticables par les patients mal en point, est un constat vraiment amer. Les femmes sortant de la salle d’accouchement passent trois jours d’enfer, avec les WC qui sont bouches des matières fécales et tout ce qui peut suivre cette stagnation. Sans oublier les moustiques, la chaleur, les BEBES qui ne sont pas dans de bonnes conditions. Et la Médecine qui n’a rien de semblable aux sanitaires est pire que la maternite.vu toute cette tracasserie les malades et leurs parents sont obliges de déposer leurs déchets derrière les bâtiments, dans les caniveaux. chaque malade descend a des heures bien précis(la nuit) pour faire ses besoins, y compris les parents, les cas les plus désespérés font leurs besoins dans les pots ou sceaux et les parents s’en chargent comme à la coutume.
Mais il reste a savoir si les nouveaux bâtiments en constructions seront une référence, et effaceront tous les bémols observes. Seul le temps nous le dira. |